Les filles, on a encore du chemin à faire!
Source: QUB
Droits menacés, violence, partage inéquitable des tâches domestiques, coûts des produits nettement plus élevés. Ce ne sont là que quelques constats qui démontrent à quel point les femmes ont encore du chemin à faire pour aspirer à l’égalité par rapport aux hommes.
C’est vrai même au Québec, une société pas mal plus évoluée, où le rôle des femmes est pourtant bien plus valorisé qu’ailleurs dans le monde.
Si on ne parle que du coût de la vie, sujet qu’a documenté ma collègue Élisa Cloutier dans son reportage sur la «taxe rose», l’injustice est flagrante. Il coûte beaucoup plus cher d’être une femme qu’un homme, et des experts le confirment.
On le sait, l’apparence des femmes est encore scrutée, et dans la sphère publique, on entend ou lit tellement de commentaires à ce sujet.
On pardonne bien des écarts aux hommes, mais on juge comment la femme s’habille, coiffe ses cheveux, se maquille, sans oublier son poids. Elle est toujours soit trop grosse ou trop mince, trop petite ou trop grande.
Comment expliquer que ça n’évolue pas, et que ça empire, même? J’avancerais l’hypothèse très plausible des réseaux sociaux où le culte de l’image bat son plein.
Droits menacés, violence, partage inéquitable des tâches domestiques, coûts des produits nettement plus élevés. Ce ne sont là que quelques constats qui démontrent à quel point les femmes ont encore du chemin à faire pour aspirer à l’égalité par rapport aux hommes.
C’est vrai même au Québec, une société pas mal plus évoluée, où le rôle des femmes est pourtant bien plus valorisé qu’ailleurs dans le monde.
Si on ne parle que du coût de la vie, sujet qu’a documenté ma collègue Élisa Cloutier dans son reportage sur la «taxe rose», l’injustice est flagrante. Il coûte beaucoup plus cher d’être une femme qu’un homme, et des experts le confirment.
On le sait, l’apparence des femmes est encore scrutée, et dans la sphère publique, on entend ou lit tellement de commentaires à ce sujet.
On pardonne bien des écarts aux hommes, mais on juge comment la femme s’habille, coiffe ses cheveux, se maquille, sans oublier son poids. Elle est toujours soit trop grosse ou trop mince, trop petite ou trop grande.
Comment expliquer que ça n’évolue pas, et que ça empire, même? J’avancerais l’hypothèse très plausible des réseaux sociaux où le culte de l’image bat son plein.